Une victime d’un faux recruteur : «Je l’ai vécu comme un viol de mes données personnelles»

Le supposé employeur me répond qu’il ne peut pas me rencontrer pour un entretien d’embauche car il est à l’inauguration d’une boutique. Par mail, il indique qu’il m’envoie un chèque de 500 € au titre d’une avance sur salaire pour que je puisse acheter une tenue professionnelle, sachant qu’il ne m’a jamais demandé ma taille ni ma pointure. Il fallait que j’encaisse ces 500 € sur mon compte puis que je retire 1 000 € que je lui envoie depuis un bureau de tabac via Transcach.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/09/17/2870189-victime-dun-faux-recruteur-ai-vecu-comme-viol-donnees-personnelles.html